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« Personne:Robert Fausser » : différence entre les versions

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Il a aussi réalisé des projets de vitraux, des tapis muraux, des peintures à l’acrylique, des gouaches, des laques sur bois, des batiks, des dessins, des sérigraphies <ref name="Lotz" />.
Il a aussi réalisé des projets de vitraux, des tapis muraux, des peintures à l’acrylique, des gouaches, des laques sur bois, des batiks, des dessins, des sérigraphies <ref name="Lotz" />.


Ses vitraux, peintures et fresques se trouvent dans les églises de Mittelbergheim, Andolsheim, Horbourg, Mietesheim<ref>D’après un renseignement oral du pasteur Jean Claude Hutchen, cette fresque, dont le dessin ressemblait en tous points au dessin des vitraux de l’église du Neudorf,  aurait été détruite depuis lors et sans doute remplacée par un autre décor, au grand dam d’un paroissien qui rappelait qu’il avait vendu une vache pour la financer...</ref>, Waldhambach <ref>Site des temples ou églises luthériennes de France , où l'on peut lire que "les  vitraux datent de 1967-1968" et "représentent la naissance, la transfiguration, la crucifixion et la résurrection du Christ, avec des grandes lignes dynamiques et des couleurs chaudes" : http://fleury2.free.fr/temples/temples/waldhambach.htm, consulté le 12/07/2019</ref>, Engwiller (en réalité, il s’agit sans doute d’une erreur du dictionnaire de Franck Storne, et la localité est-elle plutôt Eywiller <ref name= "Protestants">« Protestants d’Alsace et de Moselle », éditions Oberlin / Saep, 2006 :  Dans l’église protestante d’Eywiller, on trouve en effet des « ''vitraux réalisés par les ateliers Bischoff de Strasbourg selon des œuvres de l’artiste peintre Robert Fausser en 1955 (qui) ont l’ange comme thème commun, ce qui est rare pour une église protestante. L’archange Michaël terrasse le dragon. L’archange Raphaël accompagne Tobit. L’archange Gabriel visite Marie. L’ange de Pâques annonce le Christ ressuscité. Ainsi la communauté célébrante est en communion avec les bienfaisantes créatures'' » (page 50)</ref>, Strasbourg-Neudorf <ref>Les onze vitraux de l’église protestante de Strasbourg-Neudorf constituent une œuvre de jeunesse de Robert Fausser, puisqu’il n'est âgé que de 35 ans lorsqu’ils sont réalisés par le maître-verrier V. Bischoff, en 1961.  A noter le va-et vient très réussi, et à peine perceptible,  entre l’art abstrait (2 vitraux) et l’art figuratif (9 vitraux). Les couleurs sont à tous points de vue magnifiques et le dessin d’une grande qualité et d’une grande  maîtrise , pleine de pudeur en même temps que de profondeur, d’expression concrète et de symbolisme mystique </ref>.  Selon Gustave Koch, dans la nef de l'église protestante de Scharrarbergheim "''ont également été ajoutés en 1950 par le peintre muraliste Robert Fausser six petites fresques en ocre gris-bleu, représentant différents thèmes bibliques''"<ref name= "Protestants"/>. Robert Fausser a aussi conçu le panneau mural de la Caisse d’assurance vieillesse à Strasbourg (1974) <ref name="Storne" />.
Ses vitraux, peintures et fresques se trouvent dans les églises de Mittelbergheim, Andolsheim, Horbourg, Mietesheim<ref>D’après un renseignement oral du pasteur Jean Claude Hutchen, cette fresque, dont le dessin ressemblait en tous points au dessin des vitraux de l’église du Neudorf,  aurait été détruite depuis lors et sans doute remplacée par un autre décor, au grand dam d’un paroissien qui rappelait qu’il avait vendu une vache pour la financer...</ref>, Waldhambach <ref>Site des temples ou églises luthériennes de France , où l'on peut lire que "les  vitraux datent de 1967-1968" et "représentent la naissance, la transfiguration, la crucifixion et la résurrection du Christ, avec des grandes lignes dynamiques et des couleurs chaudes" : http://fleury2.free.fr/temples/temples/waldhambach.htm, consulté le 12/07/2019</ref>, Engwiller (en réalité, il s’agit sans doute d’une erreur du dictionnaire de Franck Storne, et la localité est-elle plutôt Eywiller <ref name= "Protestants">« Protestants d’Alsace et de Moselle », éditions Oberlin / Saep, 2006 :  Dans l’église protestante d’Eywiller, on trouve en effet des « ''vitraux réalisés par les ateliers Bischoff de Strasbourg selon des œuvres de l’artiste peintre Robert Fausser en 1955 (qui) ont l’ange comme thème commun, ce qui est rare pour une église protestante. L’archange Michaël terrasse le dragon. L’archange Raphaël accompagne Tobit. L’archange Gabriel visite Marie. L’ange de Pâques annonce le Christ ressuscité. Ainsi la communauté célébrante est en communion avec les bienfaisantes créatures'' » (page 50). Et selon Gustave Koch, dans la nef de l'église protestante de Scharrarbergheim "''ont également été ajoutés en 1950 par le peintre muraliste Robert Fausser six petites fresques en ocre gris-bleu, représentant différents thèmes bibliques''" (page 134)</ref>, Strasbourg-Neudorf <ref>Les onze vitraux de l’église protestante de Strasbourg-Neudorf constituent une œuvre de jeunesse de Robert Fausser, puisqu’il n'est âgé que de 35 ans lorsqu’ils sont réalisés par le maître-verrier V. Bischoff, en 1961.  A noter le va-et vient très réussi, et à peine perceptible,  entre l’art abstrait (2 vitraux) et l’art figuratif (9 vitraux). Les couleurs sont à tous points de vue magnifiques et le dessin d’une grande qualité et d’une grande  maîtrise , pleine de pudeur en même temps que de profondeur, d’expression concrète et de symbolisme mystique </ref>, et Scharrarbergheim <ref name= "Protestants"/>. Robert Fausser a aussi conçu le panneau mural de la Caisse d’assurance vieillesse à Strasbourg (1974) <ref name="Storne" />.


Il a été professeur de dessin (1954-1970) aux lycées de Sarreguemines, Molsheim et Strasbourg (Fustel-de-Coulanges). A l’Ecole d’architecture de Strasbourg, il a enseigné l’expression plastique de 1974 à 1988 <ref name="Storne" />.
Il a été professeur de dessin (1954-1970) aux lycées de Sarreguemines, Molsheim et Strasbourg (Fustel-de-Coulanges). A l’Ecole d’architecture de Strasbourg, il a enseigné l’expression plastique de 1974 à 1988 <ref name="Storne" />.