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Aucun résumé des modifications |
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Le permis de construire est daté du 9 septembre 1899. L'entrepreneur A. Rudloff (4 rue de Turckheim à Colmar) assure les travaux. | Le permis de construire est daté du 9 septembre 1899. L'entrepreneur A. Rudloff (4 rue de Turckheim à Colmar) assure les travaux. | ||
En 1911, l'architecte[[Personne:Christian Schoffit| | En 1911, l'architecte [[Personne:Christian Schoffit|Christian Schoffit ]] modifie les plans intérieurs pour une pâtisserie. Le commanditaire est Edouard Merklen. | ||
Jean Deutschmann reprend la confiserie Merklen en 1951. La nouvelle enseigne est "Confiserie Pâtisserie Jean Chocolatier". ( autorisation de mars 1951) | Jean Deutschmann reprend la confiserie Merklen en 1951. La nouvelle enseigne est "''Confiserie Pâtisserie Jean Chocolatier''". ( autorisation de mars 1951) | ||
En 2007, Thierry Mulhaupt, chocolatier-pâtissier reprend la pâtisserie Jean. La boutique est entièrement rénovée. | En 2007, Thierry Mulhaupt, chocolatier-pâtissier reprend la pâtisserie Jean. La boutique est entièrement rénovée. | ||
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'''Descriptif architectural'''<ref>Philippe Heinitz, Les Relations entre architecture et urbanisme dans le Reichsland, 1870-1914, éléments pour une histoire urbaine de la ville de Colmar. Mémoire de diplôme d'études, 2003, page173</ref> | '''Descriptif architectural'''<ref>Philippe Heinitz, Les Relations entre architecture et urbanisme dans le Reichsland, 1870-1914, éléments pour une histoire urbaine de la ville de Colmar. Mémoire de diplôme d'études, 2003, page173</ref> | ||
Les deux premiers étages sont vitrés avec une structure métallique ornée. | Les deux premiers étages sont vitrés avec une structure métallique ornée. «''Un bandeau formant allège les sépare''» | ||
La porte d'entrée du magasin est placée entre les deux vitrines. A l'étage, une fenêtre sépare les vitrines. | La porte d'entrée du magasin est placée entre les deux vitrines. A l'étage, une fenêtre sépare les vitrines. | ||
Le motif décoratif de la ferronnerie du garde corps est repris pour la fenêtre au dessus de la porte d'entrée donnant aux étages et pour les fenêtres du deuxième étage. | Le motif décoratif de la ferronnerie du garde corps est repris pour la fenêtre au dessus de la porte d'entrée donnant aux étages et pour les fenêtres du deuxième étage. | ||
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Une frise marque la limite entre le troisième étage et le quatrième. | Une frise marque la limite entre le troisième étage et le quatrième. | ||
«''Des pilastres encadrent les deux étages suivants dédiés à l'habitation. Le cinquième étage, plus ramassé, est séparé du registre immédiatement inférieur par une frise''.» | |||
Dans le toit, les lucarnes actuelles ne correspondent pas à celles dessinées sur le plan. | Dans le toit, les lucarnes actuelles ne correspondent pas à celles dessinées sur le plan. |