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Adresse:Cathédrale Notre Dame de Strasbourg (Strasbourg)/en cours

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2 Place de la Cathédrale

Image principale



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Date de construction 1176
Structure Lieu de culte (église, temple, synagogue, mosquée)

Date de construction 1284
Architecte Erwin de Steinbach
Courant architectural gothique

Date de construction 1879
Architecte Gustave Klotz
Courant architectural néo-roman

Date de démolition 11/8/1944

Date de transformation environ 1945

Date de rénovation 1987 à 1993
Architecte Pierre Prunet
Jean-Richard Haeusser

Classement Monument Historique 1862
Il n'y a pas encore d'actualités sur cette adresse


La Cathédrale Notre-Dame est l'édifice majeur de la ville Strasbourg. C'est aussi le plus haut avec 142m jusqu'à la pointe de la flèche. Des fondations à l'achèvement de la flèche la construction de l'édifice aura duré plus de 300 ans. La cathédrale est un édifice en pertétuelle entretien et évolution. L'Oeuvre Notre-Dame assure, depuis le moyen-âge, la construction, l'entretien et pérennité du monument.

Nous traitons ici le monument à travers les grandes dates de sa construction en s'appuyant sur l'historique fourni par le site de l'Oeuvre-Notre-Dame1.

Pour découvrir les actualités relative à la Cathédrale cliquez sur l'onglet « actualités ». Pour découvrir l'intérieur de l'édifice, cliquez sur ce lien.

De la première pierre à la cathédrale ottonienne2

Date 1015 à 1045

La construction de la cathédrale ottonienne de Strasbourg est entreprise en 1015. Richement dotée par l'empereur Henri II, elle est par ses dimensions une des plus grandes églises de l'empire germanique.

L'évêque Werner de Habsbourg

En 1001, un membre de la puissante famille des Habsbourg, Werner est sacré évêque de Strasbourg par l'empereur Otton III. En 1002, Werner participe activement à l'élection du roi Henri II, et s'attire ainsi l'ire du duc de Souabe et d'Alsace Hermann II, rival de ce dernier. Les troupes du duc prennent la ville d'assaut et pillent la cathédrale, avant de la détruire par le feu.

Bénéficiant des faveurs du roi Henri II (empereur à partir de 1014), l'évêque Werner entreprend l'édification d'une nouvelle cathédrale. Werner est un homme de culture et grand amateur de géométrie. Il lègue plusieurs manuscrits importants à la bibliothèque de la cathédrale. L'empereur soutient la construction de la cathédrale par des dons importants dont le legs des abbayes de Saint-Étienne à Strasbourg et Schwarzach sur la rive droite de l'évêché.

La date de 1015

La date du début de la construction de la cathédrale figure dans une ancienne chronique, rédigée au XIIe siècle « Anno Domino 1015, Monasterium Sancte Marie in Argentina surgit primo a fundatione sua ».

« Année du Seigneur 1015 ; le monastère (Münster : cathédrale) de Sainte-Marie s'éleva pour la première fois de ses fondations. » 3.

Le nouvel édifice s'élève très probablement sur les ruines de la précédente église majeure (fabrica maioris ecclesie argentinensis).

Ses dimensions sont spectaculaires pour l'époque. Au moment de son achèvement la cathédrale de Strasbourg compte parmi les plus grandes églises de l'Empire. Elle figure la Jérusalem céleste sur terre mais symbolise autant le puissant pouvoir terrestre et clérical de l'évêque et son soutien impérial.

Maquette

Dans le cadre des festivités pour le millénaire des fondations de la cathédrale romane posées en 1015, la Fondation de l'Œuvre Notre-Dame a réalisé une maquette en grès. L'objectif est de proposer aux visiteurs de la cathédrale de Strasbourg une représentation de la Cathédrale de Werner vers 10504.

Cette maquette se trouve dans la nef de l'édifice5.

1048 à 1180 De la cathédrale ottonienne à la cathédrale romane6

Plusieurs édifices existants portent encore de nos jours l'influence considérable de l'architecture majestueuse de la basilique romane. Au courant du XIIe siècle de nombreux incendies endommagent le monument. Ils occasionnent des restaurations qui respectent en grande partie les dispositions anciennes.

L'influence de la cathédrale romane de Strasbourg

L'architecture grandiose de la cathédrale romane influence plusieurs églises de la région : - L'église Saint-Marie de Mittelzell à la Reichenau [archive] (sur le lac de Constance)
- L'église abbatiale de Limburg an der Haardt [archive]
- L'église Saint-Georges d'Oberzell sur l'île de la Reichenau [archive]

Les dégâts provoqués par les vents

Une source7 rapporte des dommages dus à un orage le jour de Noël en 1074 : « In natale domini ventus multus aedificia urbis Argentinensis, maceria templi eversa, aliquot hominis in praesentia regis oppressit ».

En présence de l'empereur Henri III, plusieurs hommes sont tués par la chute d'une structure appelée maceria templi, qui pourrait designer une flèche de la tour du chevet.

À cette occasion la crypte est sans doute endommagée. Ces dégâts expliqueraient les restaurations de la crypte à la fin du XIe ou début du XIIe siècle. La crypte est alors transformée et agrandie. Par ses formes et par l'alternance des pierres taillées en grès rouge et en grès clair, elle s'inspire fortement de la crypte de la cathédrale de Spire. Celle-ci est un lieu emblématique, car elle est à la fois la plus grande et importante cathédrale romane de l'Empire et le lieu de sépulture des empereurs.

La cathédrale la proie des incendies

Au courant du XIIe siècle plusieurs incendies de la cathédrale sont mentionnés par les Annales de Marbach, sans fournir le moindre détail hormis les dates : 1136, 1140, 1150 et en 1176.

Une éventuelle reconstruction de la façade occidentale (vers 1140) peut résulter de l'incendie survenu en 1136.

En 1146, le passage de Bernard de Clairvaux à Strasbourg (il effectue un miracle dans la cathédrale en rendant ses jambes à une jeune fille paralysée) semble attester que l'incendie de 1140 n'a pas provoqué de dégâts conséquents.

L'incendie de 1150 peut avoir mené à une nouvelle transformation de la crypte. La partie occidentale de la crypte actuelle est datée aux alentours de 1150. Le double portail qui mène à la chapelle Saint-André semble avoir été reconstruit au même moment.

Le dernier incendie (1176) est sans doute à l'origine des grands travaux.

On abandonne alors les réparations prudentes qui tendaient à respecter l'ancienne église au profit d'un vrai projet de reconstruction.

La série d'incendies est peut-être à l'origine de cette nouvelle orientation, mais c'est aussi une volonté de moderniser l'architecture.

1180 à 1235 : De la cathédrale romane à la cathédrale gothique

À partir de 1180, un projet ambitieux de reconstruction et de modernisation des parties orientales de la cathédrale est entamé en préservant les anciennes fondations. Des voûtes en pierre se substituent aux anciens plafonds charpentés.

Les travaux de rénovation du chœur et du transept sont exécutés par au moins trois architectes différents qui se succèdent. Les travaux sont entrepris sous le puissant évêque Henri de Hasenbourg (1180-1190), proche du pouvoir impérial. Celui-ci est entre les mains des rois et empereurs de la famille des Hohenstaufen, qui considèrent l'Alsace comme "la plus chère" de leurs possessions familiales. Ses représentants les plus connus sont les empereurs Frédéric I Barberousse (empereur de 1155 à 1190), Henri VI (empereur de 1191 à 1197) et Frédéric II (empereur de 1220 à 1250).

Le maître du chœur (vers 1180-1190)

Dans un premier temps, l'abside, la croisée avec sa coupole octogonale et une partie des murs du transept sont reconstruites par un maître anonyme, appelé le "maître du chœur". Il suit de très près les traditions rhénanes de construction et s'inspire fortement de la cathédrale de Worms, plus particulièrement de son chœur occidental, achevé en 1188. La ville de Worms (en rhénanie-Palatinat) sur la rive gauche du Rhin est à ce moment, un haut lieu du pouvoir impérial. Son architecture influence largement l'architecture du Rhin supérieur.

L'architecte du transept nord (vers 1190-1210)

Entre 1190 et 1210, suit la reconstruction du bras nord du transept8, toujours dans un style roman. Cette fois-ci c'est la cathédrale de Spire, la plus grande et grandiose des cathédrales romanes de l'Empire, qui sert de modèle. Quelques détails architecturaux du bras nord révèlent cependant une connaissance des chantiers gothiques d'Île de France.

L'ancienne nef romane ne fait pas encore l'objet d'une reconstruction : on se contente dans un premier temps d'un renouvellement de ses vitraux. Une partie représente les souverains du Saint-Empire romain germanique (de nos jours ces vitraux, adaptés aux baies gothiques de la cathédrale, figurent dans le bas-côté nord de la nef).

L'architecte du bras nord du transept déplace son chantier au bras sud du transept et érige le double portail de la façade sud. À cette époque, il n'est pas encore habillé de son décor sculpté actuel.

L'architecte du bras sud du transept (1210/1220-1235)

Cet architecte opère un changement complet de style. Ayant travaillé très vraisemblablement sur des grands chantiers d'Île-de-France et de Champagne, il introduit le style gothique. Il amène aussi de nouvelles techniques de construction. Elles privilégient des murs de plus en plus minces, garnis de grandes baies et le recours aux voûtes en ogives couplées aux arcs-boutants, culées et contreforts.

Les travaux sont exécutés par une nouvelle équipe de maçons, tailleurs de pierre et sculpteurs. Ils réalisent le décor sculpté du portail sud et le pilier des Anges, qui constituent des chefs d'œuvres de la sculpture monumentale européenne.

Après l'achèvement du bras sud du transept, les murs gouttereaux des deux premières travées des bas-côtés de la nef sont érigés. La construction des chapelles Sainte-Catherine et Saint-Martin a effacé les quelques vestiges restant de cette première étape de construction de la nef.

Le choix de l'architecte et l'option pour le nouveau style est dû au chapitre de la cathédrale et à l'évêque Henri II de Veringen (évêque entre 1202 et 1223). Ce dernier, ne pouvant pas être ordonné par son métropolitain l'archevêque de Mayence, est enfin sacré en 1207 à Sens où la cathédrale gothique est en pleine construction.

L'Œuvre Notre-Dame

L'institution nommée plus tard "Œuvre Notre-Dame" (en allemand Frauenwerk) est probablement créée au début du XIIIe siècle par l'évêque et le chapitre de la cathédrale. Sa première mention, fabrica ecclesiae Argentinensis, date des années 1224/1228. Il s'agit de la fabrique de la cathédrale qui administre les finances et dirige le chantier. Avec la construction d'un atelier couvert, les différents corps de métiers nécessaires à la construction peuvent s'installer définitivement sur place et poursuivre le chantier en toute saison.


Cathédrale Notre Dame de Strasbourg

Date 1284
Architecte Erwin de Steinbach

Certainement le site le plus visité à Strasbourg, 2ème monument religieux le plus visité de France après Notre-Dame de Paris.

La cathédrale est un monument remarquable qu'il est impératif de regarder de l'extérieur comme de l'intérieur.

Les détails sont impressionnants.

La Cathédrale de Strasbourg fut, avec ses 142 mètres de hauteur, le monument le plus haut du Monde entre 1647 et 1874.

( Dimension de l' époque: 490 pieds, ancienne mesure de Strasbourg, ce qui fait un peu plus de 437 pieds de roi ou de Paris)

La longueur est de 355 pieds et la largeur de 132 pieds. La hauteur de la nef depuis le pavé jusqu' à la voute, est de 71 pieds 10 pouces 3 lignes.

Les chroniques rapportent que pendant 13 ans, plus de cent mille personnes furent employées journellement à la construction de la cathédrale, commencée en 1015 sous l' évêque Wernher. Seule la piété les incitait à ce travail. Des indulgences, du pain et quelques racines, voilà ce qu' elles recevaient en salaire.

Le 14/8/1298, un incendie détruit les échafaudages et une partie des vitraux de la cathédrale.

En 1654, la foudre tomba sur la cathédrale et une portion considérable de la partie supérieure de la tour se brisa. On fut obligé en raison des dégradations d' en démolir une partie. Il fallut 3 années pour la rétablir.

En 1759, la foudre tomba sur le toit au dessus de la nef, laquelle était recouverte de plomb, et y mit le feu. En moins d' une heure, toute la toiture fut consumée. Le feu était si ardent que le plomb embrasé tombait en cascade sur le pavé, et roulait ensuite jusqu'à la rivière. En rétablissant cette toiture, on la recouvrit de lames de cuivre rouge qui devint vert avec les années et depuis elle est recouverte de cuivre.9

Paratonnerre posé depuis 1835.10

La porte centrale était primitivement en airain sculpté , que l' on a fondu pendant la révolution pour en faire de la monnaie, elle a été remplacée par une porte en bois.

Les statues équestres de Clovis, de Dagobert II, de Rodolphe de Habsbourg et de Louis XIV, des souverains bienfaiteurs de la cathédrale ont été inaugurées le 25/08/1823.11

Les prochains travaux concernent notamment la réfection des vitraux, qui sont très sales, entre autre en raison de la pollution.

L'architecte le plus connu est Erwin de Steinbach (1244-1318). Il a commencé les travaux en 1284, et est l'auteur de la façade occidentale et la superbe rosace.

Information

Date environ 1560
Architecte Hans Thoman Uhlberger

La première horloge astronomique date 1352 et fut reconstruite au XVIe siècle par un professeur d'université de Strasbourg.

L'architecte Hans Thoman Uhlberger a dessiné la structure qui abrite l'horloge astronomique.

1571:Construction de l'horloge astronomique par Issac et Josie Habrecht de Schaffhouse sur les indications du mathématicien Conrad Dasypodius.

Cet architecte est également très connu pour avoir construit l'aile droite de l'oeuvre notre dame.

Information

Date 1862

Voir la source du classement [archive]

Journal Officiel du 16/02/1930 (lien coupé, vérifié le 5/6/2017)

Classement MH en 186212]

Tour de croisée

Date 1879
Architecte Gustave Klotz

Élévation de la partie néo-romane de la tour de croisée.

La tour de croisée ou tour Klotz se trouve à l'intersection entre la nef principale et le transept.

"http://www.oeuvre-notre-dame.org/fr/chantiers/chantier_dec06.htm" Pour en savoir plus [archive]

Bombardements de 1944

Date 11/8/1944

Et oui, pour ceux qui l'ignorent, la cathédrale n'a pas échappé aux bombardements aériens de la seconde Guerre Mondiale.

Le bas coté Nord et la tour des croisées du transept ont été atteints.

Transformation

Date environ 1945

Les architectes de la restauration après la guerre sont: M. Paul Gelis, M. Bertrand Monnet, et M. Charles Czarnowsky.

Rénovation "provisoire" de la tour Klotz. La rénovation en bardage bitumeux est particulièrement inesthétique. Il faudra attendre 40 ans pour qu'enfin intervienne la rénovation dans le style néo-roman d'origine.

La tour Klotz13

Date 1987 à 1993
Architecte Pierre Prunet
Jean-Richard Haeusser

Après les dommages causés par les bombardements de 1944, une couverture provisoire fut posée.

Finalement, au terme d'un débat de doctrine, on a pris le parti de restaurer la tour néo-romane à partir de 1988 au lieu de "dérestaurer" le monument en restituant une mitre gothique, plus hypothétique. (sources: Dictionnaire des Monuments Historiques 1995, D.N.A. du 25/08/1988 et D.N.A. du 30/10/1992)

La restauration de la tour Klotz après 43 ans ne pose aucune difficulté technique et sera évidemment plus rapide que la restitution et la Mitre, beaucoup plus ouvragée et délicate à réaliser, moins coûteuse aussi.14

La décision d'opter pour la restauration de la tour néo-romane de Klotz, jugée comme un apport majeur à l'histoire de l'édifice, est prise en 1986. Ces travaux durent de 1987 à 1993. Ils sont réalisés sous la direction de l'architecte en chef des monuments historiques Pierre Prunet et de l'architecte de l'Oeuvre Notre-Dame Jean-Richard Haeusser.15

Rappelons que la rénovation de la tour des croisées fait suite aux démolitions liées aux bombardements d'aout 1944.

Voir un reportage intéressant sur le site de l'INA [archive] avec des photos de la rénovation provisoire après le bombardement.

Buste de Lezay Marnésia16

Date 10/10/2014
Sculpteur Landolin Ohmacht

La statue du buste du préfet d'Empire Lezay-Marnésia est désormais installée dans la galerie du chevet de la Cathédrale récemment rénové. Elle trouve logiquement sa place au-dessus de la dépouille de l'homme d'Etat mort d'un accident de calèche en 1814 et qui repose à cet endroit depuis 1853; Elle se trouvait jusqu'à présent à l'Hôtel du préfet.

L'oeuvre est du sculpteur Landolin Ohmacht, auteur notamment des statues qui surplombent l'Opéra place Broglie.

Cette nouvelle installation coïncide avec le 200 ème anniversaire de la mort de Lezay-Marnésia, célébré par une cérémonie civilo-religieuse jeudi 9 octobre 2014. Une gerbe a été déposée au pied de la statue située au coin du quai qui porte son nom.

A noter que la galerie se situe derrière le choeur et n'est accessible qu'aux groupes sur demande.17

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Vues prises depuis cette adresse

Lien externe

- Site officiel de la Cathédrale de Strasbourg [archive] - Site de l'Oeuvre Notre-Dame [archive] (d'ou sont extrait les grandes dates de la constructions)

Références

  1. Les Grandes étapes [archive] consulté le 08/02/2018
  2. http://www.oeuvre-notre-dame.org/cathedrale-de-strasbourg/histoire-cathedrale/grandes-etapes/1015-1048-premiere-pierre-basilique-ottonienne [archive] consulté le 07/02/2018
  3. Annales de Marbach, XIIe siècle, cité sur http://www.oeuvre-notre-dame.org/cathedrale-de-strasbourg/histoire-cathedrale/grandes-etapes/1015-1048-premiere-pierre-basilique-ottonienne [archive], consulté le 07/02/2018
  4. Panneau d'information devant la maquette et consultable en ligne
  5. http://www.oeuvre-notre-dame.org/actualites/-/asset_publisher/M4pu/content/la-maquette-de-la-cathedrale-romane [archive] consulté le 07/02/2018
  6. http://www.oeuvre-notre-dame.org/cathedrale-de-strasbourg/histoire-cathedrale/grandes-etapes/1048-1180-basilique-cathedrale-romane [archive] consulté le 08/02/2018
  7. Nancy, Bibliothèque publique, ms. 537
  8. Inrap, communiqué de presse du 20 juillet 2012
  9. Description de la ville de Strasbourg de 1828 à 1840 par J.P. Farges-Mericourt.
  10. L' Alsace, le pays et ses habitants par Charles Grad
  11. Description de la ville de Strasbourg de 1828 à 1840 par J.P. Farges - Mericourt.
  12. [http://www.culture.gouv.fr/public/mistral/merimee_fr?ACTION=RETROUVER&FIELD_1=INSEE&VALUE_1=67482&NUMBER=8&GRP=1&REQ=%28%2867482%29%20%3aINSEE%20%29&USRNAME=nobody&USRPWD=4%24%2534P&SPEC=9&SYN=1&IMLY=&MAX1=1&MAX2=100&MAX3=100&DOM=Tous [archive] Base Mérimée
  13. Dictionnaire des Monuments Historiques d'Alsace (Livre)
  14. Métamorphoses de la cathédrale de Strasbourg du XIe siècle à nos jours. Par Bertrand Monnet.(1987
  15. La Grâce d'une cathédrale, éd. La Nuée Bleue, 2007, page 110.
  16. DNA - Dernières Nouvelles d'Alsace (journal quotidien)
  17. DNA du 10/10/2014 [archive]

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