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Adresse:8 quai Finkwiller (Strasbourg)

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8 quai Finkwiller

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Date de construction environ 1750
Structure Immeuble

Date de rénovation 10/2010
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Information

Das schmale, vierstöckige Haus der Familie Engelbach in Straßburg stammt aus dem 18. Jahrhundert. Es war in Familienbesitz, bis die Nachkommen infolge des Krieges von 1870/71 für Frankreich optierten und die Stadt verließen. Es liegt am Ufer der Ill, unweit von "La Petite France". Das erste Foto von 2007 zeigt das Äußere vor der Restaurierung.

ENGELBACH, "famille qui a donné à l'Alsace des pasteurs et des administrateurs. Originaire de la Hesse, où elle apparaît à Biedenkopf au XVIe siècle." (Christian Wolff)

Propriétaires:

Jean Frédéric Engelbach (* Bischwiller 8. 11. 1730, + Strasbourg 1. 9. 1802) se marie le 12. 12. 1762 à Oberhoffen sur Moder avec Jeanne Sophie Claudine Hesser, d'origine prussienne (+ 1763); se marie le 18. 7. 1771 à Neuwiller lès Saverne avec Elisabeth Augusta Messinger, fille d'un conseiller de Régence de Bouxwiller. Immatriculé en Faculté de Philosophie à Strasbourg en 1749, à Iéna en 1751. Régistrateur-archiviste et conseiller de la Régence, secrétaire du consistoire du comté de Hanau-Lichtenberg, il se retira à Strasbourg après 1792. Son fils

Frédéric Auguste Engelbach (* Bouxwiller 15. 4. 1772, + Strasbourg 4. 3. 1826) se marie le 23. 4. 1804 à Strasbourg avec Catherine Hennenberg, fille du diplomate Philippe Jacques Hennenberg. Etudes secondaires au Gymnase de Bouxwiller, supérieures à Göttingen (1789 - 1794) et à Erlangen (1791), licence en droit. Membre du club des Jacobins (1792), rédacteur au "Weltbote" (1793 - après 1800), secrétaire rédacteur (1798), puis avocat-avoué (1805) près le Tribunal civil de Strasbourg. Il a laissé un carnet de notes intéressantes sur le siège de 1814. Son fils

Charles Jules Engelbach (* Strasbourg 29. 6. 1812, + Rothau 14. 8. 1866) se marie le 18. 2. 1850 à Strasbourg avec Louise Steinheil, fille de Gustave Steinheil, négociant et manufacturier, et soeur de Mmes Dieterlen et Boegner. Immatriculé au Gymnase protestant en 1819, puis en Faculté de Droit (doctorat en 1834). Avocat et avoué à Strasbourg, il collabora au "Courrier du Bas-Rhin" pour les questions d'économie sociale. Commis à la Préfecture en 1842, chef du bureau de l'Instruction publique en 1846, il se mêla à la campagne des banquets en 1847. Républicain saint-simonien, il devint en 1848 adjoint au maire et secrétaire du Comité central des républicains; conseiller de préfecture de 1848 à 1851. Le coup d'Etat du 2 décembre 1852 le détermina à quitter toute fonction administrative et il prit une part d'associé dans un commerce de houille. Membre et secrétaire du consistoire du Temple Neuf. Sa veuve opta pour la France en 1872, mais finit ses jours à Rothau. Leur postérité s'établit au Havre, à Paris et à Guebwiller.1

Construction23

Date environ 1750

Hôtel du 18e siècle avec beau portail encadré de deux pilastres à bossages, terminés par des agrafes qui supportent un bel arc en plein cintre. Sous la Révolution et l' Empire y habite l' éminent professeur d' histoire et de droit, le strasbougeois Christophe-Gillaume Koch (1737-1813). Elève de Jean-Daniel Schoepflin, son successeur à l' université luthérienne de Strasbourg, Koch joue un grand rôle dans la reconstruction de l' église protestante démantelée sous la Terreur. Il a été membre du Tribunal et du Corps Législatif.4

Rénovation

Date 10/2010


Références

  1. (Christian Wolff, dans: "Nouveau dictionnaire de biographie alsacienne, no 9, Strasbourg 1986"
  2. Archives de la ville et de l'Eurométropole (Bibliothèque)
  3. Archives de la ville et de l'Eurométropole (Bibliothèque) - Cote 801W145
  4. Connaître Strasbourg 1988.